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Deux réserves de biosphère coopèrent

 

D’un bout du monde à l’autre, les problématiques sont parfois similaires. Au Chili et en France, deux territoires, tous deux réserves de biosphère, se posent des questions qui prennent leur source dans un terreau partagé. La Réserve de biosphère de La Campana-Péñuelas est contiguë aux grosses agglomérations que sont Santiago et Valparaiso. En Île de France, la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais est, elle, située à soixante kilomètres de Paris. Au Chili comme à Paris, ces deux espaces constituent un poumon vert emblématique de leur macrorégion.

Espaces naturels n°44 - octobre 2013

Vu ailleurs

La mise sous cloche est un cliché

 

Les aires protégées sont des objets symboliques qui véhiculent une image de mise sous cloche, d’outil d’État, de « pré carré des écolos ». Certains acteurs locaux soupçonnent les gestionnaires de vouloir tout interdire, d’être payés à « regarder pousser les fleurs ».

Espaces naturels n°44 - octobre 2013

Études - Recherches

Une mare plutôt qu’une citerne incendie

 

La loi impose aux communes de prévoir des réserves d’eau dans lesquelles il est possible de puiser en cas d’incendie. La création de mares peut être une alternative aux citernes.
Le Parc naturel régional des Caps et marais d’Opale a cependant étudié les conditions de leur mise en œuvre.

Espaces naturels n°44 - octobre 2013

Méthodes - Techniques

Surveiller les limicoles pour comprendre le littoral

 

Situés au sommet de la chaîne alimentaire, les limicoles côtiers constituent de bons indicateurs des changements de notre environnement. Et s’ils présentent une capacité de déplacement importante, il est loisible de les suivre sur de larges échelles de temps et d’espace. On pourrait ainsi observer la diminution, voire la disparition de certaines espèces au profit (ou non) de l’arrivée de nouvelles, et apprécier comment se modifient les aires de distribution.

Espaces naturels n°27 - juillet 2009

Études - Recherches

Le bon chemin pour restaurer les sentiers

 

Un fin diagnostic est la clef de la réussite pour la restauration d’un sentier. Un manuel pédagogique et technique a donc été conçu en ce sens : former l’œil et l’esprit avant d’utiliser pics et pioches.
Le risque est grand, en effet, d’effacer les traces de notre mémoire collective par une restauration hâtive, non réfléchie, inadéquate… privant ainsi les générations à venir des racines de leur histoire. Nous privant alors, tous, de la compréhension des fondements de notre culture née des activités humaines : commerce, transhumance, pèlerinage…

Espaces naturels n°27 - juillet 2009

Méthodes - Techniques

Dix ans de surveillance participative

 

Une population de pêcheurs traditionnels habite là, en Mauritanie, sur le territoire du Parc national du banc d’Arguin (PNBA) dont le littoral s’étend sur plus de 200 km. Les Imraguen qui résident au sein de huit villages bénéficient d’un droit ancestral et aujourd’hui exclusif d’accès à la ressource halieutique dans le cadre de leur pêche traditionnelle. Ce droit permet notamment de sauvegarder la seule culture maritime du pays et une des dernières flottilles de pêche à la voile au monde.

Espaces naturels n°27 - juillet 2009

Vu ailleurs

Trouver sa place dans un comité de gestion

 

Devant la pénurie de la ressource en eau, une nouvelle institution a vu le jour : le comité sécheresse. Celui-ci rassemble l’ensemble des acteurs (usagers, représentants, gestionnaires, administrations) et permet au préfet de prendre les mesures nécessaires1 face à la crise. Dans ce contexte, comment sont prises en compte les contraintes et exigences du milieu aquatique ? Engagée par le Cemagref, une récente enquête a permis d’éclairer les divers positionnements des acteurs dans la négociation au sein du comité de sécheresse et leur efficacité respective.

Espaces naturels n°23 - juillet 2008

Études - Recherches

À quelle échelle travailler ?

 

Si la protection des gîtes s’avère incontournable
pour assurer la pérennité des populations de chiroptères, la préservation de leurs habitats de chasse l’est tout autant. Conscient de cette nécessité, le gestionnaire est cependant rapidement confronté à une inconnue : à quelle échelle doit-il intervenir pour la mise en place de mesures de gestion favorables ?

Espaces naturels n°23 - juillet 2008

Études - Recherches

Contre l’orpaillage clandestin : la télédétection

 

Le projet s’est développé dans un contexte de plus en plus alarmant sur le plateau des Guyanes. En effet, l’augmentation continue du prix de l’or sur le marché international a accéléré le développement de l’orpaillage clandestin : depuis les années 90, les activités minières ont plus que quintuplé en surface.

Espaces naturels n°23 - juillet 2008

Méthodes - Techniques

Modéliser la dynamique des paysages

 

De nombreux travaux font état des changements dans l’organisation spatiale des paysages. Ils s’appuient pour cela sur une très large gamme de sources anciennes. Cartes postales, photographies aériennes, cadastres ou méthodes issues de l’archéologie permettent de restituer les différents états passés. Mais la difficulté réside dans l’analyse de l’organisation et de la mobilité des paysages car deux problèmes se posent : celui de la connaissance des processus en jeu dans cette transformation et celui des interactions entre ces processus.

Espaces naturels n°17 - janvier 2007

Études - Recherches

Limiter les effets toxiques des traitements antiparasitaires

 

Des mesures appropriées permettent de réduire l’impact toxique des traitements antiparasitaires.

Espaces naturels n°17 - janvier 2007

Méthodes - Techniques

Trois ans pour réduire les invasions végétales

 

Le Parc national des oiseaux du Djoudj a été créé en 1971. Ces trente-cinq années d’existence se décomposent en deux grandes périodes : avant et après la mise en service du barrage de Diama (début des années 1990). Son but est d’empêcher la remontée de la langue salée venant de la mer, de constituer une réserve d’eau douce et de permettre, notamment, la culture de riz de contre-saison. Mais le barrage de Diama a considérablement modifié les écosystèmes du delta.
Le barrage, source première de tous les maux

Espaces naturels n°17 - janvier 2007

Vu ailleurs