On a le droit de choisir ce que l'on veut manger
Vous avez toujours milité pour une cuisine responsable. D’où vient cet engagement ?
Espaces naturels n°63 - juillet 2018
Douce itinérance
Découvrir en profondeur les paysages exceptionnels et le patrimoine des Grands Sites de France par des modes de déplacement doux (à vélo, vélo électrique, à pied, en transport en commun, en train, etc.), tel est l’objectif de l’initiative « Escapade nature sans voiture ». Plutôt que d’offrir un nouveau produit touristique « clé en main », il s’agit d’encourager des formes de mobilité durable qui soient également une source d’expérience nouvelle et séduisante pour les visiteurs.
Espaces naturels n°63 - juillet 2018
Espaces naturels n°63 - juillet 2018
Financements en danger d'extinction
Quelle est la situation financière des associations naturalistes ?
Espaces naturels n°59 - juillet 2017
La nature a un sens esthétique
La mer n’est pas bleue, ni grise, mais un milieu qui reflète le ciel, dans lequel on baigne de près ou de loin et où l’on rencontre - encore - des poissons. Cette vie qui alimente, au sens strict, la nôtre, est totalement imbriquée au milieu de vie. Tous les êtres vivants partagent cette même vie. C'est cette qualité qui doit être considérée en premier lieu. La vie ?
Espaces naturels n°59 - juillet 2017
Comment les visiteurs voient ma forêt ?
L’accueil du public en forêt répond à une demande sociale très forte et déjà ancienne. L’Enquête nationale forêt-société, réalisée pour la troisième fois en 2015 par l’Université de Caen-Basse Normandie et l’Office national des forêts (ONF), montre que la fréquentation des forêts est plus importante que celle des jardins publics, de la mer ou de la montagne. 87 % de la population française est allée en forêt en 2015.
Espaces naturels n°59 - juillet 2017
Au service des zones humides
Tout de go, qu’est-ce qui vous inquiète le plus vis-à-vis de la conservation des zones humides ?
Prioritairement ? Les industries extractives. Les gens ont besoin d’énergie et les compagnies vont la chercher là où elle se trouve. Quitte à prendre des risques écologiques extrêmes.
Voyez ce qui arrive aux États-Unis et imaginez la même chose en Afrique où les populations vivent de la pêche. La dégradation serait irréversible.
Espaces naturels n°32 - octobre 2010