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Un séjour pour renouer avec notre milieu naturel

 

Le but premier de nos sorties consiste à faire revivre un lien avec la nature, pas toujours très présent dans nos quotidiens de plus en plus urbains. Structure spécialisée dans l'écotourisme depuis 2008, Oxalys Randonnées invite le grand public à la découverte des milieux naturels en moyenne et haute montagne. Cela consiste dans un premier temps à renouer avec des choses simples : réapprendre à marcher dans une bonne position afin de bien gérer son effort, écouter, regarder, sentir.

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Du temps est nécessaire pour que le silence s'installe progressivement lors de la marche. © Oxalys

Du temps est nécessaire pour que le silence s'installe progressivement lors de la marche. © Oxalys

Jean-Paul Crampe

 

La montagne est son domaine. JeanPaul Crampe a beau être à la retraite depuis quelques mois, il retourne quasiment chaque jour sur le terrain. Il est entré au Parc il y a plus de quarante ans et signe une carrière marquée par le goût d'en savoir plus et de transmettre les connaissances.

Portrait
Jean-Paul Crampe, ancien chef de secteur au Parc national des Pyrénées

Quand TEMEUM compense son carbone...

 

Je coordonne un programme concernant le renforcement des capacités des gestionnaires d’outre-mer : TeMeUm. Le comité de pilotage (copil) où siègent 16 structures s’est vite rendu compte que le fi nancement de déplacements serait nécessaire. Qui dit déplacement (et notamment vol long courrier), dit émission de gaz à effet de serre. Le WWF, qui fait partie des membres, habitué aux démarches de compensation, a suggéré dès 2010 de compenser les émissions dues aux projets soutenus.

Espaces naturels n°45 - janvier 2014

Le courrier

© Elodie Maison, Aten

La lutte contre l'étalement urbain : une priorité pour préserver les milieux naturels

 

La fragmentation des milieux naturels fait partie des facteurs importants de perte de biodiversité. L’une des principales raisons : l’urbanisation galopante, avec notamment un étalement des zones urbaines pouvant prendre des formes peu denses. Aujourd’hui, avec une tendance de 86 000 hectares par an, c’est l’équivalent d’un département français qui est urbanisé en seulement dix ans ! Aux portes de l’agglomération parisienne, le PNR de la Haute Vallée de Chevreuse n’est pas épargné par ce phénomène.

Espaces naturels n°45 - janvier 2014

Le courrier

Des ambassadeurs pour animer son territoire

 

Le réseau des Ambassadeurs du patrimoine-Biodiversité et Paysages » est né d’un groupe de prestataires du tourisme passionnés de leur territoire. « Participatif et innovant  puisqu’initié à la demande des acteurs du tourisme volontaires, ce réseau permet de favoriser les échanges entre acteurs économiques et ceux de la protection de l’environnement » confirme Patrick Bonton, président du SMCG (syndicat mixte de la Camargue gardoise ). Par ses grands espaces, ses traditions locales et son littoral, la Camargue gardoise est devenue un site à forte attractivité touristique.

Espaces naturels n°45 - janvier 2014

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Soyons prêts

 

Je dois vous le dire tout net : je ne mettrai plus les pieds dans un espace naturel, c’est vraiment trop risqué !
Après avoir assisté au dernier forum des gestionnaires qui traitait des risques naturels, des tremblements de terre, des terribles maladies contagieuses en passant par les inondations et les incendies… Il y a de quoi ressentir quelques frissons, non ? Certes, je plaisante ; cependant, la somme des expériences dont les intervenants nous ont fait part mérite bien qu’on se pose quelques questions sur la nécessaire anticipation des crises au sein de nos structures.

Le courrier

Et si on faisait simple ?

 

J’ai été amené depuis de nombreuses années à lire ou corriger de nombreux plans de gestion, documents d’objectifs, dossiers de presse, cahiers techniques… édités par les gestionnaires d’espaces protégés ou par les associations environnementalistes et j’ai très souvent été surpris par l’emploi inapproprié des adjectifs botanique, floristique et végétal ou zoologique, faunistique et animal. Dans certains cas, cela tourne au jargon technocratique ou au non-sens, ce qui ne facilite sûrement pas une bonne communication avec les élus, les décideurs ou le grand public.

Le courrier

Culture et nature cohabitent sur site sensible

 

Du haut de ses treize mètres, l’Observatoire domine les prairies estuariennes. Œuvre de Tadaski Kawamata, architecte japonais, la tour en bois et sa rampe d’accès résultent de l’initiative du Lieu unique1, organisme nantais dédié à la diffusion de la culture. L’artiste a été inspiré par ces anciens bras de Loire, sédimentés par la chenalisation du fleuve et recolonisés par la prairie ou la roselière. L’Observatoire permet de contempler la Loire.

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Développer l’humanité et conserver une nature diversifiée, est-ce possible ?

 

Avec des humains de plus en plus nombreux. Avec une planète qui s’est bien dégradée depuis une centaine d’années. Avec des modes de développement dont les facilités nous sont enviées par ceux, nombreux, qui n’en bénéficient pas encore, tandis que nous, habitants de pays dits développés, rechignerions en majorité à renoncer au confort acquis... est-il possible de conserver une nature diversifiée tout en répondant aux aspirations de développement de l’humanité ?

Espaces naturels n°35 - juillet 2011

Le courrier

Civette carnivore ?

 

Vous évoquez (Espaces naturels n°33) la découverte de civettes palmistes. Vous dites que ces espèces de carnivores mangent des fruits. Je confirme. 
En effet, les civettes palmistes font bien partie de l’ordre des carnivores. Cet ordre comprend principalement des espèces ayant un régime carnivore.

Espaces naturels n°35 - juillet 2011

Le courrier

Le chemin de Stevenson génère près de trois millions d’euros de retombées économiques

 

Les espaces naturels génèrent des retombées économiques au-delà de leur propre périmètre. Mais combien, comment, où, et qui en profite ?
Une étude nous éclaire. Destinée à connaître l’impact économique du sentier de Stevenson, lequel court sur 250 km entre le Puy en Velay et Alès, elle montre que le randonneur type est un Français de cinquante-trois ans. Qu’il marche entre mai et septembre, pendant neuf jours et choisit la demi-pension. Voilà pour le public cible.

Espaces naturels n°35 - juillet 2011

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