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L'UICN réunit la planète biodiversité en juin prochain

 

Quels sont selon vous les enjeux de 2020 ?
Nous sommes face à un risque d’extinction massif des espèces avec des taux 100 à 10 000 fois supérieurs à la normale. 2020 est vraiment une année « make or brake » pour le futur de la Nature et de l’Humanité.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

L'entretien
Grethel Aguilar, directrice générale de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)

Grethel Aguilar, directrice générale de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN)*

© UICN

À quoi sert la Convention sur la diversité biologique ?

 

En 2020, la Convention sur la diversité biologique (CDB) se dotera d’un nouveau cadre mondial à l’occasion de la 15e réunion de la Conférence des parties (COP15). Le Plan stratégique pour la biodiversité actuellement établi (2011-2020), fondé sur les 20 objectifs formulés à Nagoya en 2010 (dits Objectifs d’Aichi, du nom de la préfecture où s’est tenue à l’époque la COP) arrivant à son terme, l’heure est venue de fixer un nouveau plan.

Espaces naturels n°69 - janvier 2020

Aménagement - Gouvernance
Depuis 2016, la mer de Ross, baie profonde de l'océan Austral, fait partie des plus grande réserves marines de la planète. © Francisco Ardini - PNRA

Depuis 2016, la mer de Ross, baie profonde de l'océan Austral, fait partie des plus grande réserves marines de la planète. © Francisco Ardini - PNRA

Parcs zoologiques et Espaces naturels protégés : quelles relations ?

 

La France abrite trois cents établissements zoologiques aux profils très variés : zoos de centre-ville, aquariums, safari parcs… et aussi des espaces de rewilding1 (élevage de chevaux de Przewalski sur 300 hectares dans les Cévennes par exemple). La centaine d’établissements membres de l’Association française des parcs zoologiques (AFdPZ) attire 20 millions de visiteurs par an, qui viennent observer 68 000 animaux dont 22 000 oiseaux, 21 000 poissons et 17 000 mammifères. Des espèces charismatiques côtoient des espèces menacées plus méconnues.

Espaces naturels n°63 - juillet 2018

Aménagement - Gouvernance
Le Gypaète barbu a été réintroduit dans les Alpes grâce à une reproduction en captivité dans un zoo alpin d'Autriche.

Le Gypaète barbu a été réintroduit dans les Alpes grâce à une reproduction en captivité dans un zoo alpin d'Autriche.

Le scalpel de la biologie moléculaire

 

Qu’est-ce que CRISPR-Cas9 ?

Espaces naturels n°63 - juillet 2018

L'entretien

Quoi de neuf au bord des routes ?

 

Élément du développement des territoires, les infrastructures de transport contribuent directement ou indirectementà la perte globale de biodiversité. Néanmoins, avec des emprises représentant une surface supérieure aux parcs nationaux métropolitains, plusieurs acteurs du transport cherchent aujourd’hui à diminuer les impacts écologiques des infrastructures existantes ou en projet.

Espaces naturels n°59 - juillet 2017

Aménagement - Gouvernance
L'accroissement du réseau routier mondial est estimé à + 50 % d'ici 2050.

Financements en danger d'extinction

 

Quelle est la situation financière des associations naturalistes ?

Espaces naturels n°59 - juillet 2017

L'entretien
Rudy Pischiutta, directeur du Groupe ornithologique et naturaliste (GON) du Nord – Pas-de-Calais

Les toits de chaume au secours du butor étoilé

 

Sur le territoire du Parc naturel régional de Brière, le roseau est employé pour la couverture des habitations traditionnelles. Ce matériau a connu un renouveau notamment grâce aux subventions de l’État et de la région. Malgré cela, sur les marais de Brière, sa récolte hivernale et manuelle se fait dans des conditions difficiles sans que les coupeurs n’aient réellement de statut. En Brière, contrairement à d’autres régions (Camargue…), la mécanisation de cette activité n’a jamais réellement vu le jour. Les tentatives ont été peu concluantes tant les milieux sont contraignants.

Aménagement - Gouvernance

Préserver l’arnica et développer l’emploi

 

Plante médicinale précieuse, l’arnica est notamment récoltée pour fabriquer des baumes appliqués sur des zones traumatisées sans plaie. Une partie des récoltes provient des milieux naturels. L’arnica reste en effet difficilement cultivable et les propriétés médicinales sont plus développées dans les souches sauvages où sa présence signe une grande richesse écologique1 : la plante sert de bio-indicateur de l’état de conservation des milieux agropastoraux.

Aménagement - Gouvernance

Écologue dans un espace urbain

 

Vous travaillez en ville, vous vous occupez donc de nature ordinaire ?

L'entretien