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Sébastien Reeber a signé LE guide de référence pour la reconnaissance des canards, des cygnes et des oies.

 

Sébastien Reeber est en charge, au sein de la Société nationale de protection de la nature (SNPN), du suivi ornithologique à la Réserve naturelle nationale du lac de Grand-Lieu, qui couvre 2 700 ha sur les 6 300 ha de lac naturel au sud-ouest de Nantes. Mais si son nom vous dit quelque chose, c’est peut-être (aussi) parce que vous avez consulté l’ouvrage Canards, cygnes et oies d’Europe, d’Asie et d’Amérique du Nord qu’il a écrit et illustré1. Un livre dont la diffusion internationale contraste avec la modestie sympathique de son auteur.

Espaces naturels n°65 - janvier 2019

Portrait
Sébastien Reeber, ornithologue à la Réserve nationale du lac de Grand-Lieu © SNPN

Sébastien Reeber, ornithologue à la Réserve nationale du lac de Grand-Lieu © SNPN

La recherche à l’AFB : quels moyens, quels objectifs ?

 

 Comment la recherche est-elle organisée à l’AFB et quels sont ses objectifs ? Deux modalités de travail coexistent. D’une part, nous avons des « pôles d’étude et de recherche », qui sont des structures mixtes associant experts de l’Agence et équipes de recherche.

Espaces naturels n°65 - janvier 2019

L'entretien
Bénédicte Augeard, cheffe du département Recherche, développement, innovation, direction de la Recherche, de l’expertise et du développement des compétences, AFB © Claire Magand AFB

Bénédicte Augeard,
cheffe du département Recherche,
développement, innovation, direction
de la Recherche, de l’expertise et du
développement des compétences, AFB

© Claire Magand AFB

Un art, une éthique

 

Pourquoi le cinéma animalier est-il un  genre à part dans le cinéma ?  Je parlerai plus volontiers de « films »  que de « cinéma animalier », dans la  mesure où ces films ne sont pas diffusés  qu’au cinéma, mais aussi à la télévision,  ou pour des commandes spécifiques.  Les films animaliers constituent  un genre à part, avant tout car ils  nécessitent une technique particulière.  Certes, le cinéma est un art du  mouvement, et l’animal y a toujours été  présent.

Espaces naturels n°64 - octobre 2018

L'entretien
Maxence Lamoureux - Crédit : C. Couturier

Maxence Lamoureux - Crédit : C. Couturier

Jean-Marie Dominici, conservateur de la Réserve naturelle de Scandola (Corse)

 

« Après votre appel, je pars en mer. » Il a beau être 20h30, Jean-Marie Dominici, conservateur de la Réserve naturelle de Scandola au Parc naturel régional de Corse, n’a pas fini sa journée. « Je veux avoir le dernier regard et vérifier que personne n’est resté dans la réserve. Ainsi j’aurai l’esprit tranquille... », explique celui qui, à 58 ans, et depuis 35 ans, veille sur cet espace naturel de Méditerranée.

Espaces naturels n°64 - octobre 2018

Portrait
Jean-Marie Dominici

Jean-Marie Dominici (à droite) avec (de gauche à droite) Daniel Pauly, référent international sur la ressource halieutique et la pêche professionnelle et Enrique Sala, directeur scientifique de la National Geographic Society (États-Unis).

Iris, un chien au flair précieux

 

Jusqu'à il y a peu, Iris était encore unique dans son genre dans toute l'Europe. Celle qui arpente, aux côtés de Jérôme Sentilles de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), les pentes des montagnes pyrénéennes le nez au vent, est une chienne de race berger belge malinois. Mais Iris n'est pas un chien pisteur tel qu'on a l'habitude d'en connaître chez les chasseurs par exemple. Lorsqu'elle trouve ce qu'elle cherche, elle se couche et aboie en direction de « l’objet » recherché, sans agressivité. Elle joue plus qu'elle ne traque.

Espaces naturels n°59 - juillet 2017

Portrait
© Jérôme Sentilles

© Jérôme Sentilles

Financements en danger d'extinction

 

Quelle est la situation financière des associations naturalistes ?

Espaces naturels n°59 - juillet 2017

L'entretien
Rudy Pischiutta, directeur du Groupe ornithologique et naturaliste (GON) du Nord – Pas-de-Calais

« Les cadres institutionnels pour la biodiversité varient considérablement d’un pays à l’autre »

 

Votre étude vise à faciliter la compréhension de la gouvernance de la biodiversité en Europe ; vous êtes-vous penchés sur le fonctionnement des vingt-huit pays de l’Union ?
Les principaux instruments de gouvernance sont la prise de décision, le conseil, la gestion, la communication, le contrôle et l’évaluation. Concernant la dimension institutionnelle, nous avons étudié le fonctionnement de l’ensemble des pays membres, puis nous nous sommes focalisés sur cinq d’entre eux pour comprendre les interactions et rôles entre acteurs impliqués.

Espaces naturels n°44 - octobre 2013

L'entretien

Terres australes et choix écologiques

 

Vous êtes gestionnaire du plus grand espace naturel protégé de France1. Ce territoire, dans les terres australes, implique-t-il une approche différente de la gestion ?
Deux millions d’hectares protégés, c’est une superficie exceptionnelle. Alors que d’autres pays, l’Australie par exemple, ont fermé leurs bases, la France a choisi de continuer ses missions scientifiques et de travailler sur la biosécurité afin d’éviter une plus grande contamination du milieu. Nous sommes vigilants quant aux espèces envahissantes et celles en danger ; l’Albatros d’Amsterdam par exemple.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

L'entretien