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L'effet des infrastructures linéaires sur la diversité

 

La perte et la fragmentation de l’habitat sont de plus en plus étudiées en écologie et en génétique des populations. Ces deux phénomènes sont difficilement séparables et sont souvent considérés comme ayant des effets négatifs sur les populations sauvages. Ils peuvent conduire à une diminution de la taille des populations et à une limitation des flux de gènes entre populations, entraînant ainsi une réduction de la diversité génétique de chacune des populations locales et une plus grande différenciation entre elles.

Espaces naturels n°61 - janvier 2018

Études - Recherches
Le domaine vital des cerfs peut couvrir 1 100 à 3 000 hectares. © V.Vignon

Le domaine vital des cerfs peut couvrir 1 100 à 3 000 hectares. © V.Vignon

Rester les pieds sur terre, ne pas tomber dans le panneau

 

Comme il y a des espèces exotiques envahissantes, on constate sur certains sites la présence d’un mobilier envahissant qui artificialise et banalise malheureusement les milieux naturels. Ces objets qui tentent de faciliter leur fréquentation et leur interprétation perturbent la lisibilité du paysage. Ces aménagements qui ont pu être nécessaires à un moment donné pourraient être considérés comme une étape que l’on peut aujourd’hui dépasser.

Espaces naturels n°61 - janvier 2018

Accueil - Fréquentation
© Alain Freytet

© Alain Freytet

Est-ce que ça marche ?

 

Savoir si un programme de conservation produit l’effet escompté sur les milieux naturels intéresse a priori beaucoup de monde : le gestionnaire, qui se demande s’il doit poursuivre ses actions ou les adapter, le décideur qui doit rendre compte de la pertinence de ses choix, le financeur qui souhaite juger si les budgets alloués ont été utilement dépensés.

Espaces naturels n°61 - janvier 2018

Gestion patrimoniale
Réponses à la question : « Quelles sont pour vous les trois problématiques principales qui limitent l'efficacité des mesures ? » (enquête efficacité Natura 2000, juin 2016).

Réponses à la question : « Quelles sont pour vous les trois problématiques principales qui limitent l'efficacité des mesures ? » (enquête efficacité Natura 2000, juin 2016).

Un festival pour faire aimer la nature par tous

 

« Mais restez sérieux, un festival pour montrer les « petites plantes » et les « petits oiseaux », ça ne peut pas marcher ! » C’est comme cela qu’un projet de festival nature peut débuter, comme ne jamais voir le jour. Ce fut aussi le cas pour le festival Natur’Armor porté par l’association VivArmor Nature. Organisé chaque année en Côtes d’Armor avec pour unique objectif de faire découvrir la biodiversité bretonne au plus grand nombre, cet événement vient de fêter ses dix ans et, par la même occasion, accueillir son 50 000e visiteur

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Accueil - Fréquentation
Festival Natur’Armor

Atelier jeune public lors du festival Natur'Armor porté par l'association VivArmor. © Pauline Delaunay

Vivent les mauvaises herbes

 

Bannies de leurs habitats que sont les moissons d’hiver sous la pression d’une agriculture plus intensive, les plantes messicoles se sont raréfiées jusqu’à disparaître totalement de certaines régions de France métropolitaine. Alors que les cultures sur sols maigres, vouées à la consommation par le bétail de l'exploitation agricole sont encore des milieux favorables pour elles, à l’autre extrême, les plaines de grande culture ont été désertées par ce groupe de plantes annuelles, noyé dans le vaste ensemble des « mauvaises herbes ». 

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Gestion patrimoniale
plantes messicoles

Cultures expérimentales de plantes messicoles pour la production de graines dans le Gers. © J. Garcia/CBN Pyrénées et Midi-Pyrénées