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Développement de capacités

 

Mais qu’entend-on exactement par développement de capacités ? La confusion qui entoure ce terme semble s’être accrue proportionnellement à sa popularité. Les acteurs de la coopération internationale ont largement utilisé ces dernières années les expressions anglo-saxones capacity building, capacity reinforcement ou capacity development.

Espaces naturels n°56 - octobre 2016

Des mots pour le dire
Développement de capacités

Grande faune : trouver un terrain d'entente

 

Bien que les conflits Homme-Faune ne soient pas un phénomène nouveau, en Afrique sub-saharienne notamment, les perspectives de croissance démographique, des besoins accrus en ressources naturelles ainsi que la diminution des habitats naturels ont aggravé la situation. Elles laissent présager le pire pour l’utilisation des espaces vitaux de chacun. 

Espaces naturels n°56 - octobre 2016

Vu ailleurs
Grande faune : trouver un terrain d'entente

Briques de piment et de bouse. © ACODED

Simuler la vie des espèces pour aider à la gestion des espaces naturels

 

Représenter les espèces à l’aide de l’outil informatique pour gérer les espaces naturels pose évidemment question, car cette reproduction doit être assez réaliste et précise pour apporter une réponse opérationnelle en adéquation avec les besoins des gestionnaires. Par exemple, les outils actuellement utilisés pour élaborer les Trames vertes et bleues (TVB)1 font preuve d’une forte simplification de l’écologie des espèces et donc questionnent sur leur degré de réalisme et in fine sur leur opérationnalité.

Espaces naturels n°56 - octobre 2016

Méthodes - Techniques
Simuler la vie des espèces pour aider à la gestion des espaces naturels

Le simulateur compare les impacts de différentes stratégies d'aménagement (ici, autoroute A16 dans le Pas-de-Calais). © Alfa environnement

La saisie Naturalist© dans la poche

 

Finis les carnets de terrain oubliés au fond des tiroirs sans profiter à personne. Naturalist© permet de remplir un double objectif :

1) servir le naturaliste sur le terrain qui va pouvoir classer ses observations et les partager instantanément ;
2) servir les gestionnaires en standardisant la collecte des données, que ce soit pour des données aléatoires ou issues de protocoles de collecte précis.

Espaces naturels n°56 - octobre 2016

Méthodes - Techniques
La saisie Naturalist© dans la poche

Suivi enthomologique RTE vallée de la Boutonne. © A. Orseau

Pédagogie pour un sentier sous-marin

 

Initié en France par le Parc national de Port-Cros, le concept de sentier sous-marin (activité aquatique de découverte, avec au moins un masque) s’est lentement développé en s’appuyant tant sur des associations d’éducation à l’environnement que sur le réseau des aires marines protégées. Le sentier sous-marin répond à une demande sociale. Et s’il génère des retombées financières, il permet de canaliser la fréquentation des sites tout en sensibilisant les publics à la fragilité des milieux. Son atout maître réside alors dans la possible évolution des comportements.

Espaces naturels n°35 - juillet 2011

Méthodes - Techniques

Écomobilité

 

L’écomobilité est l’étude puis la mise en place, généralement en milieu urbain, des modes de transports les moins polluants (Wikipédia). Appliquer cette notion aux espaces naturels demande une adaptation aux spécificités d’espaces fragiles et aux publics essentiellement touristiques. On imagine les études de flux, de tarification, les problématiques de réglementation, de partage des usages, de redéfinition des accès et du stationnement automobile que peut nécessiter le développement d’alternatives moins polluantes.

Espaces naturels n°35 - juillet 2011

Des mots pour le dire

Vraiment efficaces ?  Les plans de gestion des zones protégées

 

Les jeunes populations quittent leur territoire qui ne leur permet pas de subvenir à leurs besoins. Naguère contrée de subsistance, le Parc national de Prespa (Albanie) comprend environ 20 % de lacs et autres zones humides. Lieu d'élevage, d'agriculture, de pêche, de chasse, mais aussi de braconnage et de coupe illégale de bois, le parc fut créé pour sa sauvegarde en 2001.

Espaces naturels n°35 - juillet 2011

Vu ailleurs

Le retour à la liberté du dernier cheval sauvage

 

Le projet remonte à 1990. Pour redonner sa liberté au cheval de Przewalski et afin de le réintroduire en Mongolie, aire historique de l’espèce, l’association « Takh » 1 voit le jour. Sa spécificité réside dans une prise en compte très poussée du comportement de l’espèce dans son milieu naturel (éthologie).
La préparation au Villaret
C’est en Lozère, sur le causse Méjean que « Takh » élève des chevaux de Przewalski. Venus de zoos, les fondateurs du troupeau sont arrivés en 1993 et 1994.

Vu ailleurs

Ve Congrès mondial des parcs

 

Du consensus… Le message de Kofi Anan a rappelé que l’augmentation du taux de surfaces protégées s'est faite concomitamment avec une accélération de la perte de biodiversité au niveau mondial et avec une fragmentation des aires de répartition des espèces. L'objectif de 10 % de la superficie terrestre en aires protégées, arrêté il y a vingt ans alors que le pourcentage n’était que de 3,5 %, est dépassé. Il atteint désormais 12 %.

Espaces naturels n°5 - janvier 2004

Vu ailleurs

Amphibiens

 

Il suffit d’un véhicule par minute pour écraser neuf crapauds sur dix !. Entre Grenoble et Lyon, au creux des collines boisées du Bas-Dauphiné, dans un petit bassin versant inscrit à l’inventaire des sites Natura 2000, se trouve la Tourbière du Grand-Lemps. Cette zone humide d’une cinquantaine d’hectares, au patrimoine naturel exceptionnel, est entourée de routes qui rendent délicates les migrations animales. Au printemps, lors de la migration prénuptiale, les amphibiens se faisaient écraser par milliers. Depuis les bois où ils passent l’hiver, ils tentaient

Espaces naturels n°5 - janvier 2004

Méthodes - Techniques