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Écosystèmes méditerranéens : mieux les connaître pour mieux restaurer

 

Milos est certes une île touristique d’une nature riche, au littoral somptueux, mais son paysage témoigne aussi très largement de son histoire minière. Cette île méditerranéenne grecque se trouve dans l’archipel des Cyclades, au sein de l’arc volcanique du sud de l’Egée, qui lui confère un grand intérêt géologique pour le secteur minier, premier poste économique. L’île présente un paysage de collines, un climat semi-désertique (300 à 400 mm de précipitations par an) marqué par une période de sécheresse d’avril à septembre et des embruns fréquents.

Espaces naturels n°68 - octobre 2019

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Carrière de Trahilas après réhabilitation en 2014. © Imerys Greece

Carrière de Trahilas après réhabilitation en 2014. © Imerys Greece

Mieux informer les politiques pour défendre la biodiversité à l’international

 

La Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES) vise à renforcer l’interface entre sciences et politique en vue de la conservation et de l’usage durable de la biodiversité, du bien-être de l’humanité à long terme et du développement durable. Organisme indépendant créé en 2012 sous l'égide du Programme des Nations unies pour l’environnement aux sociétés humaines au niveau mondial, sur demande des décideurs politiques.

Espaces naturels n°65 - janvier 2019

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Une vue de Medellín (Colombie), où s'est tenue la sixième plénière de l'IPBES en mars 2018. © Milo Miloezger

Une vue de Medellín (Colombie), où s'est tenue la sixième plénière de l'IPBES en mars 2018. © Milo Miloezger

Contre les boues illégales, qui détient les clés de l’action ?

 

Urbanisation, changement de destination des terres, aménagement d’irrigation… depuis plus d’un siècle, le delta du Gediz subit une évolution dramatique. Le lieu a connu, tour à tour, la création puis l’agrandissement des salines, la multiplication des canalisations d’eau. De riches habitats ont aujourd’hui disparu et, avec eux, de nombreuses espèces. Ni la convention de Ramsar, ni la Réserve de faune qui s’applique dans ce périmètre (8 000 ha enregistrés) ne s’avèrent suffisantes et les inquiétudes vont croissant.

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