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Accepter un espace public redessiné

 

Tolérer les herbes aux pieds des murs, désacraliser le trottoir, s’approprier l’espace public, etc. Quelle meilleure approche que le street art pour changer les perspectives de nos rues ? En effet, par habitude, l’herbe a perdu sa place dans l’espace urbain. Elle y est devenue une « mauvaise herbe » indésirable voire un signe de saleté. Ce qui est une difficulté­ quand on a pour objectif de limiter l'usage des pesticides – pour, en l'occurrence, prévenir les risques de transfert de contaminants vers les zones humides littorales.

Pédagogie - Animation

Collage sur les murs d'un centre social à partir de photos prises lors d’une balade botanique sur le site des salines de Villeneuve (site du Conservatoire du littoral) animé par le Siel et le CEN Languedoc-Roussillon. © Julien CAUCAT - Siel

Terres australes et choix écologiques

 

Vous êtes gestionnaire du plus grand espace naturel protégé de France1. Ce territoire, dans les terres australes, implique-t-il une approche différente de la gestion ?
Deux millions d’hectares protégés, c’est une superficie exceptionnelle. Alors que d’autres pays, l’Australie par exemple, ont fermé leurs bases, la France a choisi de continuer ses missions scientifiques et de travailler sur la biosécurité afin d’éviter une plus grande contamination du milieu. Nous sommes vigilants quant aux espèces envahissantes et celles en danger ; l’Albatros d’Amsterdam par exemple.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

L'entretien

Environnement ou développement économique ?

 

Quelque vingt-quatre ans passés dans les pays d’Asie et d’Afrique m’amènent à poser un regard sur la manière dont est pris en compte l’environnement, dès lors que l’on pose des questions liées au développement économique et plus particulièrement dans les pays pauvres.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Le courrier

Sylvain Dubreux : « Mes élèves ? De futurs chefs d’équipe »

 

Il y a des profs qui marquent. Sylvain Dubreux est de ceux-là. Enseignant au lycée agricole de Tilloy-les-Mofflaines, il forme ses élèves au brevet de technicien supérieur Gestion et protection de la nature (GPN). Son approche du cursus scolaire repose sur un constat : pas assez de pratique ! « Au lycée, on n’est pas suffisamment équipé pour approfondir les gestes techniques. On se concentre sur la théorie sans réellement toucher au terrain.

Espaces naturels n°33 - janvier 2011

Pédagogie - Animation