
Devenir « télépilote »
Avec environ 400 000 drones professionnels et 7 millions de drones de loisirs en circulation en Europe d'ici 2050, la filière se structure peu à peu. La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) gère aujourd’hui deux types de permis pour piloter un drone : le permis de télépilote de loisirs et le permis de télépilote professionnel. La loi du 24 octobre 2016 a institué une formation obligatoire pour faire voler tout drone de plus de 800 g (environ 10 % des drones de loisirs en circulation). Depuis juillet 2018, la formation des télépilotes professionnels s’est, quant à elle, durcie.
Espaces naturels n°65 - janvier 2019
L’oeil du drone à tout faire
La Terre vue du ciel de Yann Arthus- Bertrand constitue un marqueur dans l’histoire récente de la production d’images sur les espaces. Depuis, les prises de vue aériennes se sont développées et rares sont désormais les reportages et documentaires traitant peu ou prou d’un territoire qui n’en usent pas. L’apparition des drones dans le domaine civil n’y est évidemment pas pour rien. Leur prix et leur technicité accessibles ont fait oublier les onéreux vols en hélicoptère de Y. Arthus-Bertrand.
Espaces naturels n°65 - janvier 2019
Responsable soigneur dans un centre de sauvegarde
IIl n’existe aucune formation académique pour devenir responsable d’un centre de sauvegarde. Certains suivent des formations de soigneurs animaliers en parcs zoologiques, d’autres des formations plus généralistes comme un BTS Gestion et protection de la nature, etc. L’expérience acquise sur le terrain, aux côtés d’autres soigneurs, dans différents centres de sauvegarde(1), constitue l’essentiel de la formation. Ensuite, obtenir un certificat de capacité est une obligation réglementaire.
Espaces naturels n°65 - janvier 2019
Vivre de la nature et la faire vivre avec son troupeau
Est-ce que les éleveurs avec qui vous travaillez se préoccupent de la nature et des enjeux environnementaux ?
Espaces naturels n°54 - avril 2016
Réconcilier ressource fourragère et biodiversité ? Un casse-tête !
Au XVIIIe siècle, les troupeaux étaient la principale richesse des villages ; ils sont aujourd’hui quasiment disparu des paysages du PNR de la Narbonnaise en Méditerranée. Les arguments en faveur de la réintroduction de l'activité pastorale sont nombreux : maintien des milieux ouverts, protection contre l'incendie, maintien des mosaïques paysagères.
Espaces naturels n°54 - avril 2016