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Le point de vue de Marie Dorin-Habert, (ancienne) biathlète

 

La nature, c’est la seconde passion de Marie Dorin-Habert, biathlète française de haut niveau de 2003 à 2018 (quadruple médaillée aux jeux olympiques, deuxième de la coupe du monde 2015-2016, plusieurs fois championne du monde, etc.) et titulaire d’un master Biodiversité écologie évolution de l’université de Grenoble Alpes. Au printemps dernier, elle a annoncé qu’elle raccrochait les skis. Sa reconversion ? Un poste au service jeunesse et sport du conseil départemental de l’Isère, pour monter des projets éducatifs, dont on imagine aisément que l’environnement ne sera pas exclu !

Espaces naturels n°65 - janvier 2019

Autrement dit
Marie Dorin-Habert, (ancienne) biathlète.

Marie Dorin-Habert, (ancienne) biathlète. © DR

S'émerveiller, émerveiller

 

Luc Jacquet nous a emmenés en Antarctique, découvrir les Manchots empereur, ou dans la forêt tropicale avec Francis Hallé. La nature, il la partage avec de très belles images. « Je suis un hybride. Une partie de moi se consacre à l'art de raconter des histoires, l'autre, liée à mes études, est tournée vers la biologie et les phénomènes de la nature. Tous mes projets, "Il était une forêt, La glace et le ciel", comme ceux à venir, ont pour objectif de raconter au grand public. » Raconter quoi ?

Espaces naturels n°55 - juillet 2016

Autrement dit

Relever le défi d'une nature vivante

 

À QUOI SERVENT SELON VOUS LES ESPACES PROTÉGÉS ET LES GESTIONNAIRES QUI Y TRAVAILLENT ?

Autrement dit
Christiane Lambert

Christiane Lambert

Biodiversité et (bonne) santé

 

Définir la biodiversité est à la fois un exercice complexe et très contemporain. La notion d’interrelations est certainement à bien mettre en avant comme cela a été montré par de nombreuses études autour des réseaux trophiques, d’herbivores à carnivores et jusqu’à nécrophages. Inversement, le positionnement des micro-organismes dont ceux potentiellement pathogènes, se discute peut-être un peu plus. Sans le dire, inconsciemment, nous avons peut-être plus peur d’un virus que d’un grand prédateur !

Espaces naturels n°52 - octobre 2015

Autrement dit