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Tous unis pour nos biens communs

 

Biens communs de l’humanité, les écosystèmes et la biodiversité doivent être protégés aujourd’hui et pour les générations futures. Ils sont pourtant soumis à des pressions de plus en plus fortes, majoritairement d’origine anthropique. Perte de biodiversité, déforestation et fragmentation d’habitats, conflit homme-faune, dégradation des terres et artificialisation des sols, érosion côtière, réchauffement et acidification des océans ; crise climatique, surexploitation des ressources naturelles et pollutions de toutes sortes qui y contribuent et aggravent chacune de ces situations.

Édito

Le pari des territoires

 

Cent trente États, dont la France, ont adopté le rapport de la plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques (IPBES). La synthèse pour les décideurs de ce rapport fait un constat fort et clair : les pressions qui s’exercent sur les écosystèmes sont plus fortes que jamais, cela doit conduire à des changements majeurs de nos modes de vie. Les assises nationales de la biodiversité 2019 ont rappelé ces grands enjeux dans le message depuis Massy1.

Espaces naturels n°68 - octobre 2019

Édito
Par Christophe Aubel, Directeur général de l'Agence française pour la biodiversité

Par Christophe Aubel, Directeur général de l'Agence française pour la biodiversité. Crédit photo : DR

Qu’attendre du Grenelle de l’Environnement ?

 

Promesse faite à neuf associations1 le 31 mars 2007 par le candidat Nicolas Sarkozy, le Grenelle de l’Environnement a été annoncé par le nouveau Président de la République dès le troisième jour qui a suivi son installation à l’Élysée. Il a alors fixé les règles du jeu de cette négociation entre cinq collèges d’acteurs : les associations, les entreprises, les organisations syndicales, les collectivités, l’État.

Espaces naturels n°20 - octobre 2007

Édito

Réserves naturelles d’outre-mer, un enjeu de taille

 

Un privilège peut-être, une responsabilité certainement ! En matière de biodiversité, l’outre-mer français regroupe un grand nombre de régions biogéograghiques du globe et héberge plusieurs « points chauds » de biodiversité1. Sa dimension marine est souvent méconnue alors que la France possède là le deuxième domaine maritime au monde. Or, d’un « point chaud » à l’autre, la présence et l’activité humaines peuvent être très différentes : d’un côté certaines îles à densité de population et croissance démographique fortes, de l’autre des espaces pratiquement inoccupés.

Édito

Par Jean-Claude Lefeuvre

 

On sait aujourd’hui qu’un faible pourcentage d’espèces exotiques devient envahissant et pose problème : sur quelque 100 espèces introduites, 10 en général se maintiennent et une seule prolifère. Une partie des espèces introduites s’adapte difficilement au nouvel habitat qu’on leur impose : elles peuvent alors disparaître très vite ou rester cantonnées là où on les a introduites, c’est-à-dire très souvent dans les parcs et jardins. Seules les espèces agressives sur le plan démographique doivent être contrôlées, or on sait rarement maîtriser leur extension.

Espaces naturels n°5 - janvier 2004

Édito