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Évaluer la biodiversité à l'échelle d'un site

 

Dans un contexte où les pressions sur la biodiversité s’intensifient, le Muséum national d’histoire naturelle s’est engagé depuis plusieurs années auprès d’acteurs et gestionnaires du territoire, afin de les accompagner dans l’identification et la hiérarchisation des enjeux de biodiversité. L’IQE, en évaluant la biodiversité et la fonctionnalité écologique à l'échelle d'un site, vise trois grands objectifs :

Espaces naturels n°60 - octobre 2017

Aménagement - Gouvernance
Ce site des Pyrénées centrales a fait l'objet de l'application d'un IPE en 2013. Les résultats ont constitué une base d'échanges entre le gestionnaire du site et plusieurs acteurs du territoire en vue d'assurer une gestion conservatoire de la biodiversité.

En phase avec les besoins des employeurs

 

Les formations supérieures de niveau bac+5 dans le domaine de l'environnement se multiplient en France, en particulier celles à vocation professionnelle1.

Espaces naturels n°60 - octobre 2017

Management - Métiers
Sur un coteau calcaire de Wavrans sur l’Aa (réserve naturelle régionale), cours de botanique de Benoît Toussaint, du Conservatoire botanique national de Bailleul.

Sur un coteau calcaire de Wavrans sur l’Aa (réserve naturelle régionale), cours de botanique de Benoît Toussaint, du Conservatoire botanique national de Bailleul.

Réseau : un animateur à la barre

 

Le métier d’animateur de réseau n’étant pas enseigné, des personnes d’horizons variées le pratique. Deux qualités indispensables : être à l’écoute et disponible. « On doit s’intéresser à l’humain, au-delà du sujet de travail,» affirme Adeline Destombes. Gunnel Fidenti confirme : « C’est un métier vraiment passionnant et très riche. Un poste complet qui demande beaucoup de polyvalence. Faire preuve de diplomatie, et savoir s’adapter au contexte. » Avec un corollaire : savoir gérer son temps.

Espaces naturels n°48 - octobre 2014

Management - Métiers

© Thomas Gendre

Approche paysagère – approche écologique : même combat ?

 

Urbanisation, intensification des pratiques agricoles induisant une disparition des prairies au profit des cultures et la suppression des éléments fixes du paysage (haies, mares, fossés, talus, murets de pierres sèches…), déforestation, enrésinement, gestion en futaie régulière de certains peuplements monospécifiques provoquant des coupes à blanc, fragmentation des milieux naturels par des infrastructures linéaires, manque d’entretien des milieux agro-pastoraux induisant une fermeture des paysages, pollution lumineuse.

Espaces naturels n°48 - octobre 2014

Aménagement - Gouvernance

Pas de perte en ligne pour la biodiversité

 

La Région Nord Pas-de-Calais est une des régions les plus densément peuplées et très marquée par l’urbanisation, ce qui se traduit par une forte présence d’infrastructures liées aux activités humaines (autoroutes, voies ferrées, réseau de transport d’électricité). Une surface importante quadrillant l’ensemble du territoire régional est concerné, ce qui n’est pas sans conséquence sur les espaces qu’ils traversent et notamment les espaces naturels (fragmentation des habitats, création d’obstacles, rupture de continuités écologiques...).

Espaces naturels n°48 - octobre 2014

Aménagement - Gouvernance

© Marc Fourmentin

« Plus on sait, plus on sait qu’on ne sait pas »

 

La Réserve naturelle de Camargue1, la plus ancienne de France (créée en 1926), n’a connu que deux conservateurs dans son histoire : Gabriel Tallon, de 1926 à 1966, et Éric Coulet, en place depuis 1973.
Éric est né en Arles. Formé par la science, doctorat d’écologie appliquée en poche, il dit avoir tout appris « sur le tas » concernant la nature et l’écologie camarguaise.
Sa motivation ? Au début, faire quelque chose pour « son pays qui foutait le camp »…

Management - Métiers

Les corridors du Grésivaudan

 

Aujourd’hui, sur 70 km de vallée alpine de part et d’autre de Grenoble, il ne reste plus que six corridors bio-logiques pour permettre à la faune de rejoindre les massifs de part et d’autre de la rivière Isère.

Aménagement - Gouvernance

La pollution vitesse lumière

 

Comment freiner l’emploi de globes lumineux, système inefficace et source de fortes nuisances ? Le Parc naturel régional du Luberon, qui veut lutter contre la pollution lumineuse, propose aux communes d’intégrer dans leurs documents d’urbanisme « la nécessité d’éclairer du haut vers le bas et d’utiliser des dispositifs permettant de faire converger les faisceaux lumineux uniquement vers le sol ».
Fait rare, élus et habitants semblent aujourd’hui convaincus de ces dispositions. Ce ne fut pas toujours le cas…

Aménagement - Gouvernance