Développement de capacités
Mais qu’entend-on exactement par développement de capacités ? La confusion qui entoure ce terme semble s’être accrue proportionnellement à sa popularité. Les acteurs de la coopération internationale ont largement utilisé ces dernières années les expressions anglo-saxones capacity building, capacity reinforcement ou capacity development.
Espaces naturels n°56 - octobre 2016
Espaces naturels n°56 - octobre 2016
Les espaces naturels, prêts pour le télétravail ?
Les motivations pour mettre en place le télétravail dans sa structure sont souvent liées au bien-être du travailleur, à une meilleure articulation vie professionnelle, vie familiale. Diminuer les déplacements, c'est gagner du temps pour soi, et diminuer les risques (fatigue, accident) qui y sont liés. Dans les espaces naturels, vient s'ajouter, souvent même en priorité, l'idée de réduire son empreinte carbone. C'est le cas du PNR Loire-Anjou-Touraine, qui a même inscrit le télétravail comme une des mesures de son agenda 21 et de son plan climat.
Espaces naturels n°52 - octobre 2015
L’empreinte écologique
De plus en plus médiatisé dans le monde de la conservation et du développement durable, notamment par le WWF, ce concept repose sur la surface de terres productives nécessaires pour fournir les biens et services qu’utilisent les humains, et pour absorber leurs déchets. Calculée à diverses échelles (globale, nationale...), et exprimée en « hectares globaux » par habitant, l’empreinte permet des comparaisons entre pays. Elle est souvent comparée à la biocapacité, qui est la capacité intrinsèque de production et d’absorption des écosystèmes.
Espaces naturels n°52 - octobre 2015
L’objectif de non-perte nette
Transformer les écosystèmes, les détruire, tout en conservant la biodiversité ; quelle idée ! Sorti de son contexte, l’objectif politique de « no net loss » est saugrenu. Pourtant, lorsque nous observons l’état actuel de la biosphère, cet objectif fait sens. Voyons plutôt. On estime que plus de 80 % de la surface terrestre ont été modifiés par les activités humaines.
Espaces naturels n°49 - janvier 2015
Rangers du monde : une même famille, des formations variées
Ce qui frappe, quand on interroge les rangers de différents pays sur leur formation, c’est la disparité. C’est en tout cas ce qu’ont pu constater les membres de Gardes nature de France, l’association française affiliée à la fédération internationale des gardes.
Espaces naturels n°49 - janvier 2015
wwoofing
Les professionnels de la nature et les agriculteurs bio ont de nombreux dossiers en commun. Les wwoofer (world wide opportunities on organic farms) se rencontrent de plus en plus sur les exploitations, donc aussi dans les espaces naturels. Mais qu’est-ce que c’est au juste ? Le wwoofing est un mouvement né en Angleterre il y a 40 ans. Il se pratique en France, de façon alternative, depuis une vingtaine d’années. La création de l’association française remonte à 2007.
Espaces naturels n°48 - octobre 2014
Réseau : un animateur à la barre
Le métier d’animateur de réseau n’étant pas enseigné, des personnes d’horizons variées le pratique. Deux qualités indispensables : être à l’écoute et disponible. « On doit s’intéresser à l’humain, au-delà du sujet de travail,» affirme Adeline Destombes. Gunnel Fidenti confirme : « C’est un métier vraiment passionnant et très riche. Un poste complet qui demande beaucoup de polyvalence. Faire preuve de diplomatie, et savoir s’adapter au contexte. » Avec un corollaire : savoir gérer son temps.
Espaces naturels n°48 - octobre 2014
L’intensification écologique en agriculture
En utilisant le terme intensification accolé à celui d’écologie, on peut s’attendre à des incompréhensions voire à de l’agressivité. Il n’y a pourtant aucune provocation dans cet assemblage, seulement une logique purement scientifique.
Voyons plutôt.
Espaces naturels n°46 - avril 2014
Formateurs… Formez-vous !
Formateur. Quel drôle de mot. Cela voudrait dire que l’on peut formater des personnes ? Espérons que non. De plus en plus, en éducation à l’environnement au moins, nous utilisons plutôt le terme d’animateur de formation. Mais derrière ce terme il y a plusieurs métiers : intervenant en formation, concepteur et conducteur de modules de formation, ingénieur pédagogique et également ingénieur de formation. Les conditions de sa réussite ? Une bonne boîte à outils pédagogiques, et une bonne connaissance du profil des apprenants.
Espaces naturels n°46 - avril 2014