Médiateur scientifique. Multi-casquettes, multiples enjeux
Comment partager et transmettre au grand public les enseignements scientifiques obtenus sur un espace naturel protégé ? La question se pose pour nombre de ces espaces, qui accueillent ou mènent aujourd’hui des travaux de recherche. Tel est le cas de la Réserve naturelle nationale de la forêt de la Massane, d’une surface de 336 ha, non exploitée depuis plus d’un siècle et où s’effectuent de multiples études sur les écosystèmes forestiers.
Espaces naturels n°67 - juillet 2019
En phase avec les besoins des employeurs
Les formations supérieures de niveau bac+5 dans le domaine de l'environnement se multiplient en France, en particulier celles à vocation professionnelle1.
Espaces naturels n°60 - octobre 2017
Réseau : un animateur à la barre
Le métier d’animateur de réseau n’étant pas enseigné, des personnes d’horizons variées le pratique. Deux qualités indispensables : être à l’écoute et disponible. « On doit s’intéresser à l’humain, au-delà du sujet de travail,» affirme Adeline Destombes. Gunnel Fidenti confirme : « C’est un métier vraiment passionnant et très riche. Un poste complet qui demande beaucoup de polyvalence. Faire preuve de diplomatie, et savoir s’adapter au contexte. » Avec un corollaire : savoir gérer son temps.
Espaces naturels n°48 - octobre 2014
Formateurs… Formez-vous !
Formateur. Quel drôle de mot. Cela voudrait dire que l’on peut formater des personnes ? Espérons que non. De plus en plus, en éducation à l’environnement au moins, nous utilisons plutôt le terme d’animateur de formation. Mais derrière ce terme il y a plusieurs métiers : intervenant en formation, concepteur et conducteur de modules de formation, ingénieur pédagogique et également ingénieur de formation. Les conditions de sa réussite ? Une bonne boîte à outils pédagogiques, et une bonne connaissance du profil des apprenants.
Espaces naturels n°46 - avril 2014
« Plus on sait, plus on sait qu’on ne sait pas »
La Réserve naturelle de Camargue1, la plus ancienne de France (créée en 1926), n’a connu que deux conservateurs dans son histoire : Gabriel Tallon, de 1926 à 1966, et Éric Coulet, en place depuis 1973.
Éric est né en Arles. Formé par la science, doctorat d’écologie appliquée en poche, il dit avoir tout appris « sur le tas » concernant la nature et l’écologie camarguaise.
Sa motivation ? Au début, faire quelque chose pour « son pays qui foutait le camp »…
Espaces naturels n°26 - avril 2009